Jeumont : les nouveautés de la rentrée littéraire


Romans

 
   

« Betty »
de Tiffany McDANIEL

Ce livre est à la fois une danse, un chant et un éclat de lune, mais par-dessus tout, l’histoire qu’il raconte est, et restera à jamais, celle de la Petite Indienne.

La Petite Indienne, c’est Betty Carpenter, née dans une baignoire, sixième de huit enfants. Sa famille vit en marge de la société car, si sa mère est blanche, son père est cherokee. Lorsque les Carpenter s’installent dans la petite ville de Breathed, après des années d’errance, le paysage luxuriant de l’Ohio semble leur apporter la paix. Avec ses frères et soeurs, Betty grandit bercée par la magie immémoriale des histoires de son père. Mais les plus noirs secrets de la famille se dévoilent peu à peu. Pour affronter le monde des adultes, Betty puise son courage dans l’écriture : elle confie sa douleur à des pages qu’elle enfouit sous terre au fil des années. Pour qu’un jour, toutes ces histoires n’en forment plus qu’une, qu’elle pourra enfin révéler. Betty raconte les mystères de l’enfance et la perte de l’innocence. À travers la voix de sa jeune narratrice, Tiffany McDaniel chante le pouvoir réparateur des mots et donne naissance à une héroïne universelle.

   
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Romans policiers

 
   
A

« Blind Date »
de Joy FIELDING

Tout avait été tellement facile. Hypnotisée par le charme de l’homme qu’elle rencontrait pour la première fois, elle avait accepté de quitter le bar bondé pour le suivre dans son appartement. Avant qu’elle n’ait eu le temps de réaliser quoi que ce soit, ses mains étaient attachées dans son dos et elle avait littéralement la corde au cou.

Déçues par leurs vies sentimentales, Paige, sa cousine et rivale Heather, sa meilleure amie Chloé et sa mère Joan téléchargent toutes la même application de rencontres, en espérant y trouver l’amour. Aucune d’entre elles n’imagine alors croiser le chemin d’un serial killer.
Il se fait appeler Monsieur Maintenant ou Jamais, sait utiliser son physique irrésistible et sa voix sensuelle pour apaiser les craintes des jeunes femmes qu’il veut attirer dans son appartement. Qui sera sa prochaine victime ?

   
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Science-fiction

 
   

« The expanse » (Tomes 1 à 5)
de James SA COREY

L’humanité a colonisé le système solaire. Quand Jim Holden, second sur un transport de glace, croise la route du Scopuli, un appareil à l’abandon, il se retrouve en possession d’un secret bien encombrant. S’il ne découvre pas rapidement qui a abandonné ce vaisseau et pourquoi, le conflit latent entre le gouvernement de la Terre et les rebelles risque de se réveiller.

Avec ce premier volume de la série « Expanse », James S. A. Corey signe « un space opéra qui déchire » (George R. R. Martin).

   
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Romans en grands caractères

 

« La papeterie Tsubaki»
d’OGAWA ITO

Hatoko, vingt-cinq ans, reprend la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Elle fait ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres. Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important. Hatoko répond aux souhaits les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : cartes de voeux, mot de condoléances pour le décès d’un singe, lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin. Grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues

   
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Documentaires

 
   

« La voyageuse de nuit »
de Laure ADLER

« C’est un carnet de voyage au pays que nous irons tous habiter un jour. C’est un récit composé de choses vues sur la place des villages, dans la rue ou dans les cafés. C’est une enquête tissée de rencontres avec des gens connus mais aussi des inconnus. C’est surtout une drôle d’expérience vécue pendant quatre ans de recherche et d’écriture, dans ce pays qu’on ne sait comment nommer : la vieillesse, l’âge ?
Les mots se dérobent, la manière de le qualifier aussi. Aurait-on honte dans notre société de prendre de l’âge ? Il semble que oui. On nous appelait autrefois les vieux, maintenant les seniors. Seniors pas seigneurs. Et on nous craint – nous aurions paraît-il beaucoup de pouvoir d’achat – en même temps qu’on nous invisibilise. Alors que faire ? Nous mettre aux abris ? Sûrement pas ! Mais tenter de faire comprendre aux autres que vivre dans cet étrange pays peut être source de bonheur…
Plus de cinquante après l’ouvrage magistral de Simone de Beauvoir sur la vieillesse, je tente de comprendre et de faire éprouver ce qu’est cette chose étrange, étrange pour soi-même et pour les autres, et qui est l’essence même de notre finitude.
« Tu as quel âge ? » Seuls les enfants osent vous poser aujourd’hui ce genre de questions, tant le sujet est devenu obscène. A contrario, j’essaie de montrer que la sensation de l’âge, l’expérience de l’âge peuvent nous conduire à une certaine intensité d’existence. Attention, ce livre n’est en aucun cas un guide pour bien vieillir, mais la description subjective de ce que veut dire vieillir, ainsi qu’un cri de colère contre ce que la société fait subir aux vieux. La vieillesse demeure un impensé. Simone de Beauvoir avait raison : c’est une question de civilisation. Continuons le combat ! »

   
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Bandes dessinées

 

« New York cannibals »
de François BOUCQ
et Jérôme CHARYN

New York, 1990. Pavel tient toujours son salon de tatouage. Sa protégée, Azami, est devenue policière et culturiste. Lors d’une intervention, elle découvre un bébé abandonné dans une poubelle. Incapable d’enfanter à cause des traitements qu’elle a infligés à son corps, elle décide d’adopter l’enfant. Pour le protéger, elle va remonter la piste d’un trafic de bébés, et découvrir qu’il semble lié à un mystérieux gang de femmes qui dévorent leurs ennemis. Étrangement, les fantômes du goulag dans lequel Pavel a grandi semblent être à l’origine de ces atrocités. Comme si l’univers, les codes et la violence du goulag avaient pris pour nouveau territoire les rues de New York.

   
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