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- Despret 001
A gauche on aperçoit le "Familistére", une épicerie ouverte de 1926 jusqu'au début des années 1980. En face on distingue l'hospice, devenu depuis une maison d'accueil spécialisé. Notons qu'à cette époque la circulation était à double sens. Photo prise entre 1950 et 1960. - Despret 004
Au premier plan à droite se trouve la poste. En bas, ce sont des logements de particuliers qui ont été détruits dans les années 1970 pour laisser place au Boulevard de Lessines. Photo prise avant 1914. - Despret 005
Même prise de vue que la photo précédente. Mais, photo prise entre 1910 et 1920. - Despret 032
Sur la gauche, on distingue l’enseigne « les comptoirs français » qui était une épicerie générale. Devant, une charrette tirée par un cheval transportant des tonneaux de bière ou de vin. Photo prise en 1909. - Despret 039
Voici la bijouterie « Spallart » située rue des anges, à côté du marchand de parapluie chez « Donnadieu » et le café « les 3 entêtés; A la fermeture de l’établissement, l’enseigne fut offerte au musée de Jeumont aujourd’hui disparu. La vitrine de la boutique est protégée par une grille de fer. On peut y lire l’inscription « Achat d’or ». Le facteur fait sa tournée. Photo prise dans les années 1910 - Despret 006
Devant la poste, on aperçoit le facteur qui pose fier. Plus bas, son collègue rentre de sa tournée. Derrière lui, un auvent indique une boulangerie. Photo prise au début des années 1900. - Despret 012
Voici la quincaillerie d'Honoré RIFFE située face à la poste. Chacun y trouvait son bonheur ! Photo prise entre 1930 et 1940. - Despret 014
Au premier plan à gauche se tenait la droguerie, vitrerie, peinture, tenue par la famille THOMAS. Devant celle-ci madame THOMAS promène son fils en poussette. Elle est suivie par son deuxième enfant. Sur la droite, le bâtiment avec un auvent était la maison ROBERT. C'était un marchand de chaussures. Photo prise entre 1940 et 1950. - Despret 058
A droite, la droguerie Thomas , puis la boutique de la mère « Michelle » qui vendait des tissus. A l’angle de la rue de la mairie, se trouvait le petit café épicerie de la « veuve Poulet »; les gamins aimaient s’y ravitailler en boîtes de poudre de coco. Cette poudre jaune laissait un goût acre et amer en bouche.Une fois dilué dans l’eau, la couleur ressemblait à de la bière ou du cidre. Sur la gauche, le café la « chope du nord » suivi du mur du presbytère. Photo prise début 1900. - Despret 072
Sur la gauche se trouve un haut-parleur et des guirlandes : certainement une période de fête ! La voiture est une Peugeot 203. Sur la droite, on peut lire la pancarte Phildar de « chez Caroline ». Photo prise vers 1960. - Despret 002
Le bâtiment bleu à droite était un café pension de famille tenu par la famille THOMAS PINCHART. Il est situé face à la poste. Madame PINCHART avait pour époux le "QUINQUET" qui était aussi plombier. A gauche, au premier plan se situe le "Familistére". Photo prise entre 1945 et 1955. - Despret 022
A droite se trouvait "le grand bazar des ménages" suivi de la ruelle du curé et du mur d'enceinte du presbytère. Photo prise début 1900. - Despret 023
A droite, au premier plan, "les cycles" boutique tenue par madame FAVERSIENNE. On distingue une fois de plus le "grand bazar des ménages". Photo prise début 1900. - Despret 037
On aperçoit le boulanger et son chien. A droite, la rue s’appelait rue St Eloi. Devant la grande maison se situe aujourd’hui l’arrêt de bus. A gauche, la rambarde de sécurité délimite la rue Hector Despret de la ruelle Maillet qui deviendra plus tard le boulevard de Lessines. On peut apercevoir la dénivellation très importante de l’époque. Parmi les personnages, on suppose que s’y trouve l’apprenti boulanger. L’affiche, sur la maison du fond à gauche, illustre une publicité pour les peintures Ripolin, elle représente trois peintres en action ! Photo prise entre 1920 et 1940. - Despret 055
Cette fois, à côté de la chapelle, la boutique Langlois a disparu pour laisser place à la boutique de Monsieur Fontenelle qui vendait des appareils électriques. Notons que les 3 maisons suivantes appartenaient à Monsieur Tapia, ce qui lui avait permis d’agrandir sa librairie et d’y vendre de la maroquinerie. Photo prise vers 1960.